Mariem attend dans le salon d'apparat quand nous revenons de la mosquée, avec les femmes. On lui présente le contrat, qu'elle signe sous l'œil de la caméra et même d'Hamza (debout).
Il y a alors beaucoup de youyous, la photo des mariés, puis la présentation des cadeaux portés en procession
Ensuite, la collation assise commence. Le placement est libre, mais hommes et femmes sont séparés. Les invités entrent et sortent et se succèdent aux tables, c'est assez peu formel.
Je suis conduit à la table de Zoubeir, le mari ingénieur de Leïla, un esprit frondeur, et de son beau-frère Kaïs, polytechnicien, ancien PDG des mines de phosphate, un homme un brin arrogant (comme tout X qui se respecte - bon OK j'en connais aussi qui ont su rester simple quelles que soient leurs responsabilités) mais intéressant et cultivé.
Nous discutons longuement de la Tunisie, un peu de la France, en dégustant le couscous et quelques fruits. C'est fou comme les Tunisiens échangent des idées dès qu'ils en ont l'occasion. Ça change de l'atonie blasée des Français aujourd'hui.
Je vais essayer de synthétiser quelques unes des idées échangées.
Pour patienter voici une photo de fin de soirée dans le vestibule de la maison.
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